Lors des dernières élections provinciales, j'ai été abasourdie de constater que la population québécoise avait préféré faire confiance aux Libéraux. J'avais presque cru à un poisson d'avril avec quelques journées de retard. Les mois ont passé et je regarde la situation s'aggraver, à l'Assemblée nationale, comme jamais auparavant. En ce moment, j'entends parler d'austérité. C'est un bien beau mot pour nous faire avaler la pilule plus facilement.
Le gouvernement libéral est revenu au pouvoir presque au même point qu'en septembre 2012. En réalité, on est en train de revenir en arrière. Couillard n'a pas de couilles et son cabinet encore moins. J'ai jamais entendu autant de conneries venues de la Colline parlementaire, en six mois, que depuis que je m'intéresse le moindrement à la politique.
Le gouvernement Couillard veut diminuer la dette en coupant, entre autre, dans l'Éducation et la Culture. Parallèlement à ça, il autorise la poursuite du forage à Cacouna et, Ô surprise, l'implantation de primes chez les ministres libéraux. Et après on se demande pourquoi les jeunes ne veulent rien savoir de la politique.
Je suis blasé, écœuré de me faire mentir, escroquer, manipuler, voler par des êtres sans scrupules, en veston-cravates, qui sont là que pour remplir leur poches et non pour représenter leurs concitoyens. Et venez pas me dire que le gouvernement actuel représente bien la population québécoise. Je n'ai pas voter et je ne voterai jamais libéral de ma vie.
Je ne crois pas que mon texte arrivera un jour aux élus libéraux, mais si c'est le cas, j'aimerais remercier les élus libéraux pour la perte de ma foi en la démocratie. Merci de continuer à détruire le Québec de demain. Vous me dégoûtez. Vous ne pensez qu'à vous, qu'à vos intérêts personnels et non à ceux de la majorité, c'est-à-dire, le peuple. Soyez-en averti, monsieur le Premier ministre, qu'un agissement de la sorte ne peut qu'engendrer qu'un second printemps érable.
Je vous rappelle, monsieur le Premier ministre, que les étudiants l'ont encore en travers de la gorge. Et la rue grondera de nouveau et de nouvelles factions se rajouteront à la lutte contre le despotisme, l'injustice et l'individualisme que vous faites preuve à l'égard de vos concitoyens. Vous avez bien réussi à manipuler l'esprit des gens pour vous accaparer le pouvoir. Mais certaines personnes, comme moi, n'ont pas été dupés par vos agissements. Ils ont vu clair dans votre jeu et ont décidé de voter autrement, pour un futur meilleur.
Je terminerai en disant ces mots.
Non-amicalement vôtre,
Un étudiant / Un électeur / Un membre du peuple
Le gouvernement libéral est revenu au pouvoir presque au même point qu'en septembre 2012. En réalité, on est en train de revenir en arrière. Couillard n'a pas de couilles et son cabinet encore moins. J'ai jamais entendu autant de conneries venues de la Colline parlementaire, en six mois, que depuis que je m'intéresse le moindrement à la politique.
Le gouvernement Couillard veut diminuer la dette en coupant, entre autre, dans l'Éducation et la Culture. Parallèlement à ça, il autorise la poursuite du forage à Cacouna et, Ô surprise, l'implantation de primes chez les ministres libéraux. Et après on se demande pourquoi les jeunes ne veulent rien savoir de la politique.
Je suis blasé, écœuré de me faire mentir, escroquer, manipuler, voler par des êtres sans scrupules, en veston-cravates, qui sont là que pour remplir leur poches et non pour représenter leurs concitoyens. Et venez pas me dire que le gouvernement actuel représente bien la population québécoise. Je n'ai pas voter et je ne voterai jamais libéral de ma vie.
Je ne crois pas que mon texte arrivera un jour aux élus libéraux, mais si c'est le cas, j'aimerais remercier les élus libéraux pour la perte de ma foi en la démocratie. Merci de continuer à détruire le Québec de demain. Vous me dégoûtez. Vous ne pensez qu'à vous, qu'à vos intérêts personnels et non à ceux de la majorité, c'est-à-dire, le peuple. Soyez-en averti, monsieur le Premier ministre, qu'un agissement de la sorte ne peut qu'engendrer qu'un second printemps érable.
Je vous rappelle, monsieur le Premier ministre, que les étudiants l'ont encore en travers de la gorge. Et la rue grondera de nouveau et de nouvelles factions se rajouteront à la lutte contre le despotisme, l'injustice et l'individualisme que vous faites preuve à l'égard de vos concitoyens. Vous avez bien réussi à manipuler l'esprit des gens pour vous accaparer le pouvoir. Mais certaines personnes, comme moi, n'ont pas été dupés par vos agissements. Ils ont vu clair dans votre jeu et ont décidé de voter autrement, pour un futur meilleur.
Je terminerai en disant ces mots.
Non-amicalement vôtre,
Un étudiant / Un électeur / Un membre du peuple