Le 8 mars 1989, vers les trois heures du matin, j’ai vu le jour au Centre Hospitalier Régional de Lanaudière à St-Charles-Borromée. Naître un 8 mars, c’est un peu un couteau à double tranchant. Dans mon cas, je suis né le même jour que mon parrain, mais également lors de la Journée Internationale de la Femme. Cela veut dire que depuis aussi loin que je me souvienne, on me ramène ce détail sous le nez à chaque année. Je vous aime pareil.
25 ans, ça passe vite. Plusieurs événements se sont déroulés en 1989. Le Réseau des Sports fut créé et La petite Sirène de Disney émerveilla de nombreux enfants, dont ma grande sœur, devant les écrans de cinéma. Le Club de Hockey Canadien perdit la Coupe Stanley face aux Flames de Calgary en juin, alors qu’un tireur fou bouleversa la vie d’une quinzaine de familles lors du drame de la Polytechnique en décembre.
Je viens de traverser un quart de siècle et j’ai l’impression que la journée du bal de graduation n’était qu’hier. Des événements m’auront marqué l’imaginaire à tout jamais. Du drame de Columbine, au Colorado, jusqu’au déluge du Saguenay en passant par la Crise du verglas en 1998 ou les attentats du 11 septembre 2001, mes yeux ont été témoins de l’Histoire.
J’ai été témoin de l’avènement des technologies et par le fait même, de l’abrutissement de l’Homme. Il ne se fait plus d’émission de qualité comme il y avait dans mon temps. Dans mon temps. Je parle comme un vieux crouton. Mais c’est vrai. Les émissions jeunesses, entre autre, manquent de ce petit scintillement qui je ne retrouve pas dans les émissions d’aujourd’hui. Ceux qui ont connu la belle époque de Canal Famille comprendront.
Je suis nostalgique d’une époque révolue. Tellement que je plains les jeunes qui sont entrés au secondaire à l’automne. Certes, il existe encore Ciné-Cadeau, sur les ondes de Télé-Québec, pour donner une idée de ce qu’ils ont pu manquer. Les émissions d’aujourd’hui sont, en générale, des coquilles vides de sens.
25 ans, c’est court et infiniment long dans la vie d’un homme. C’est une tache, minime et indélébile, dans l’histoire de l’humanité.
Merci à tous pour vos vœux. Je les apprécie grandement. Ma vingt-cinquième année, je me la souhaite belle et rêveuse. Je souhaite de rencontrer une Belle et de valser, en sa compagnie, sur ce classique de Disney chanté par Céline. Romantique et nostalgique, un mix de fou! Je me souhaite également de nombreux contrats photo. Mais, bien sur, plein de folklore dans la tête, les yeux et mon cœur.
J’arrête là. Sinon, on va me trouver beaucoup trop sentimental.
25 ans, ça passe vite. Plusieurs événements se sont déroulés en 1989. Le Réseau des Sports fut créé et La petite Sirène de Disney émerveilla de nombreux enfants, dont ma grande sœur, devant les écrans de cinéma. Le Club de Hockey Canadien perdit la Coupe Stanley face aux Flames de Calgary en juin, alors qu’un tireur fou bouleversa la vie d’une quinzaine de familles lors du drame de la Polytechnique en décembre.
Je viens de traverser un quart de siècle et j’ai l’impression que la journée du bal de graduation n’était qu’hier. Des événements m’auront marqué l’imaginaire à tout jamais. Du drame de Columbine, au Colorado, jusqu’au déluge du Saguenay en passant par la Crise du verglas en 1998 ou les attentats du 11 septembre 2001, mes yeux ont été témoins de l’Histoire.
J’ai été témoin de l’avènement des technologies et par le fait même, de l’abrutissement de l’Homme. Il ne se fait plus d’émission de qualité comme il y avait dans mon temps. Dans mon temps. Je parle comme un vieux crouton. Mais c’est vrai. Les émissions jeunesses, entre autre, manquent de ce petit scintillement qui je ne retrouve pas dans les émissions d’aujourd’hui. Ceux qui ont connu la belle époque de Canal Famille comprendront.
Je suis nostalgique d’une époque révolue. Tellement que je plains les jeunes qui sont entrés au secondaire à l’automne. Certes, il existe encore Ciné-Cadeau, sur les ondes de Télé-Québec, pour donner une idée de ce qu’ils ont pu manquer. Les émissions d’aujourd’hui sont, en générale, des coquilles vides de sens.
25 ans, c’est court et infiniment long dans la vie d’un homme. C’est une tache, minime et indélébile, dans l’histoire de l’humanité.
Merci à tous pour vos vœux. Je les apprécie grandement. Ma vingt-cinquième année, je me la souhaite belle et rêveuse. Je souhaite de rencontrer une Belle et de valser, en sa compagnie, sur ce classique de Disney chanté par Céline. Romantique et nostalgique, un mix de fou! Je me souhaite également de nombreux contrats photo. Mais, bien sur, plein de folklore dans la tête, les yeux et mon cœur.
J’arrête là. Sinon, on va me trouver beaucoup trop sentimental.